17 janvier 2023 à 14:29 dans Actualité, Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Café Repaire de Mâcon aura le plaisir d'accueillir
Mardi 15 septembre au Bazar café à 19h30
Florence Saint -Arroman, journaliste judiciaire indépendante,
qui viendra présenter son livre « Quand nos vies basculent »
« J'ai réuni 12 chroniques judiciaires, j'ai choisi des choses proches de nous (j'ai éliminé les apologies du terrorisme ou les procès pour trafic de stups), et j'ai trouvé un titre avec "nous" dedans, j'y tenais beaucoup.
Chaque article est prolongé par des textes de participants extérieurs, avocats, un conseiller pénitentiaire d'insertion et de probation, et d'autres journalistes. L'ancien président du tribunal judiciaire de Mâcon l'a gentiment préfacé. »
Voici des liens vers des articles qui parlent du livre :
https://criminocorpus.hypotheses.org/113845
http://laurentcachard.hautetfort.com/archive/2020/06/20/quand-nos-vies-basculent.html
04 septembre 2020 à 09:59 dans Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)
Mardi 17 septembre
19h30
chez Nathalie
Bazar Café
34 rue Dufour
71000 Mâcon
03 85 50 72 44
NOTRE SOCIETE IDEALE
Engagez le changement !
Atelier d'échange
« Chacun ces idées »
Élaboration de propositions concrètes en vue d'initier la transformation du monde et de l'humanité pour une vie plus épanouie.
Transformer nos modes de vie implique de se fixer ensemble une ligne d'horizon. Si nous voulons œuvrer à l'émancipation de l'humain, il semble primordial déterminer des objectifs commun.
14 mai 2019 à 12:43 dans Actualité, Expériences pour l'avenir, Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)
13 mars 2019 à 13:54 dans Actualité, Expériences pour l'avenir, Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)
Grève générale,
Aujourd'hui autant qu'hier, outil souverain de lutte ?
Mardi 12 février
19h30
chez Nathalie
07 janvier 2019 à 08:43 dans Actualité, Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)
Néocolonialismes
19h30
chez Nathalie
03 décembre 2018 à 07:41 dans Actualité, Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)
Téléchargement Invitation Forum SANTE_20 octobre 2018
Samedi 20 Octobre 2018
14h à 18h
Palais de Justice de Tournus
Salle 15
La santé se réduit-elle à l’absence de maladie ou à la médecine ?
Quels obstacles nous empêchent d’être en bonne santé ? Quels sont nos besoins en matière de santé ?
Quels impacts sur notre vie quotidienne vont avoir les mesures gouvernementales sur la santé et la sécurité
sociale ?
Comment chacun peut-il défendre et améliorer sa propre santé et celle de ses proches ?
Nous vous proposons de réfléchir et de chercher ensemble des alternatives locales et globales.
UN FORUM, POUR QUOI FAIRE ?
Initiés depuis 2015 par des habitants du Tournugeois, rassemblant citoyens sans étiquette ou engagés dans différents collectifs ou associations (ACTE - Ateliers Citoyens pour la Transition Écologique, A.S.R - Action Solidarité Rurale, Attac, Ensemble 71, Ecologic Action), syndicats (Confédération paysanne, CGT, Solidaires) ou partis (E.E.L.V, PCF, FI), les FORUM 71 sont des lieux d’échange et de réflexion sur les grandes questions qui impactent nos vies au quotidien : Démocratie, Travail et Rémunération, Industrialisation et Service public, à quoi sert de parler du capitalisme, Santé…
17 octobre 2018 à 10:51 dans Actualité, Ici, national, L'info que vous n'avez pas , Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)
https://www.europe-solidaire.org/spip.php?article45879
« La structure même de la société mondiale et du droit qui la régit s’y oppose »
vendredi 31 août 2018, par CHEMILLIER-GENDREAU Monique
Monique Chemillier-Gendreau engage ici un dialogue avec Etienne Balibar à partir d’une tribune que ce dernier avait pubiée dans Le Monde, qui est par ailleurs disponible sur ESSF [1].
Cher Étienne,
Je n’ai pas réagi à votre message de début juillet et à votre article dans l’Humanité dimanche. J’étais d’accord en tous points avec vous et j’aurais dû vous le dire.
Et puis, il y a eu votre article dans Le Monde il y a quelques jours « Pour un droit international de l’hospitalité ». Je n’ai pas réagi immédiatement parce que j’étais absorbée par un travail urgent. Mais j’ai mis votre texte de côté car il suscite de ma part quelques commentaires que je me permets de vous transmettre. Et comme vous aviez envoyé le premier texte à une large liste de vos contacts, je me permets de vous faire mes commentaires par le même moyen (en y ajoutant quelques autres contacts) car je crois que ces questions sont la préoccupation de bien des intellectuels et qu’il est bon d’élargir le débat. D’autant que je souhaite sensibiliser tous ceux qui s’intéressent au drame des migrations à la question sur laquelle je veux mettre le doigt.
Vous souhaitez « limiter l’arbitraire des États » et vous dites plus loin « Le principe des principes, c’est que les migrants en situation d’errance jouissent de droits opposables aux lois et règlements étatiques, ce qui implique aussi qu’ils puissent se défendre et être représentés devant des juridictions ad hoc ou de droit commun ».
Je ne peux que souscrire pleinement à cela. Mais ce que je veux simplement rajouter c’est que la structure même de la société mondiale et du droit qui la régit s’y oppose. C’est cette aporie du système mondial qui est ignorée le plus souvent et qui, n’étant pas combattue, nous met dans des positions de déploration et donc d’impuissance.
Les éléments de ce que vous appelez de vos vœux comme un droit de l’hospitalité, ont déjà été affirmés dans des textes internationaux, pas seulement la Déclaration universelle des droits de l’homme, mais les Pactes internationaux qui eux, ont valeur obligatoire (autant que tous les traités de droit international que les États signent et ratifient comme la preuve de leur caractère vertueux, mais dont ils se fichent ensuite comme d’une guigne et dont ils entravent même l’application).
Tous les humains sans exception disposent selon le premier de ces textes (le Pacte sur les droits civils et politiques) du droit à la vie, du droit de ne pas subir de torture ou autre traitement inhumain ou dégradant, du droit de ne pas être tenu en esclavage, du droit de ne pas faire l’objet d’arrestation ou détention arbitraire.
Tous les humains sans exception ont encore, selon ces textes qui représentent le DROIT EN VIGUEUR, le droit à la reconnaissance en tous lieux de leur personnalité juridique, le droit à la liberté de conscience, d’expression et d’association, le droit à la vie familiale, le droit de libre circulation.
03 septembre 2018 à 15:59 dans A lire, Europe, Histoire, International, Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)
IdéeS
« Les exilés ? L’histoire nous demandera des comptes »
Avènement de l’extrême droite, traitement inhumain des exilés... la faillite de l’Europe crève les yeux. Le philosophe Étienne Balibar analyse cette crise et démonte la supposée refondation proposée par Macron.
L’Union européenne maintient son cap. Son modèle de construction est de plus en plus rejeté par les peuples européens qui se tournent vers le nationalisme ou des mouvements néofascistes en Italie, Autriche, Pologne, Hongrie. Face à la crise démocratique, politique, existentielle de l’Europe, la « refondation » d’Emmanuel Macron accentue les maux existants.
Entretien
Nous assistons désormais à une progression de forces nationalistes, xénophobes et d’extrême droite à chaque élection. Elles arrivent au gouvernement comme en Italie, pourquoi ?
La séquence ouverte depuis des années manifeste une crise, sans doute irréversible, de la construction européenne dans sa forme actuelle. Elle se déplace d’un pays à l’autre avec les mêmes ingrédients : les effets de l’austérité sur les classes moyenne et pauvre et le développement des inégalités sociales et territoriales sont la suite logique de ladite concurrence libre et non faussée. Avec le malaise que crée le gouvernement technocratique de l’UE et des États eux-mêmes, ces éléments se cristallisent. Ils alimentent le nationalisme, la xénophobie et la haine de la démocratie.
Mais ce qu’on constate aussi depuis la crise grecque et le Brexit, c’est qu’on ne peut ni vraiment sortir de l’Union ni en expulser un État membre. Évidemment, des forces politiques croient dans la sortie de l’Europe, mais aucun gouvernement ne peut l’imposer. Faute d’un projet alternatif porté par des individus, des forces ou des courants politiques neufs, je crois qu’on va vers une situation de pourrissement, de neutralisation réciproque des forces hégémoniques en Europe dont les conséquences sont imprévisibles.
Lire la suite "E Blibar . sur les migrants . Huma dimanche 22 juin 2018" »
03 septembre 2018 à 15:54 dans A lire, Ailleurs, Afrique, Europe, Histoire, International, Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)