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31 mars 2015 à 17:26 dans Expériences pour l'avenir, International, L'info que vous n'avez pas | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
31 mars 2015 à 13:19 dans Actualité, Ecologie, environnement, Fukushima, Les films | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
In Salah: La révolte contre les
gaz de schiste en Algérie
Mercredi 1er Avril
19h30
au BAZAR CAFé
34 rue Dufour
71000 Mâcon
03 85 50 72 44
Téléchargement Total-rapport-vf
http://www.bastamag.net/Pourquoi-les-grands-patrons
http://www.bastamag.net/Algerie-mobilisations-sociales
http://www.bastamag.net/Gaz-de-schiste-comment-la
http://www.jeuneafrique.com/Article/DEPAFP20150307162559/
http://www.monde-diplomatique.fr/2013/03/AHMED/48823
https://france.attac.org/se-mobiliser/les-requins/article/algerie-total-doit-clarifier-sa
Téléchargement Gaz scjhiste médiapart
26 mars 2015 à 11:43 dans Actualité, Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
26 mars 2015 à 11:30 dans Actualité, Ailleurs, Afrique, Ailleurs, USA, Ecologie, environnement, Fukushima | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Samedi 28 mars , 20h30
Les faits sont réels et ont abouti à une condamnation de l’ancien ministre, Gilles de Robien( qui a fait appel). Un livre en a été tiré en 2013, au long duquel nous côtoyons le loi et son application parfois complaisante, des élus , des organismes d’insertion, des tribunaux, des avocats, des réseaux de notables provinciaux et des quartiers populaires. Un portrait d’époque. Par les lecteurs de l’AIAPEC.
25 mars 2015 à 14:38 dans Actualité, Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Les discours officiels sur la Grèce : Pourquoi ils sont faux ? Quelles leçons pour la France et l’Europe ?
Malgré l’ingérence et la pression des dirigeants de l’Union Européenne, le peuple grec a décidé de prendre courageusement son destin en main et d’en finir avec les politiques d’austérité qui ont plongé le pays dans la misère et la récession. Dans les pays victimes de la Troïka, mais aussi dans de nombreux autres pays européens, cette victoire est perçue comme un formidable encouragement à lutter pour mettre un terme à des politiques profitables aux marchés financiers et désastreuses pour les populations.
Mais déjà les grands médias relaient l’idée absurde selon laquelle l’annulation de la dette grecque « coûterait 600 euros à chaque contribuable français ». À mesure que les négociations vont se durcir entre la Grèce et la Troïka, la propagande va s’intensifier et notre travail d’éducation populaire sur la question de la dette publique va devenir de plus en plus décisif. Ces réponses aux idées reçues sur la dette grecque ont vocation à y contribuer.
Idée reçue n°1 : Annuler la dette grecque: 636 € par Français ?
Le discours officiel sur la Grèce
« Il n'est pas question de transférer le poids de la dette grecque du contribuable grec au contribuable français » (Michel Sapin, ministre de l’Économie, Europe N°1, 2/02), « une ardoise de 735 € par Français » (Le Figaro, 8 janvier), 636 € selon TF1 (2 février).
Pourquoi c’est faux ?
La France est engagée à la hauteur de 40 milliards € par rapport à la Grèce : une petite partie a été prêtée à ce pays dans le cadre de prêts bilatéraux, le reste (environ 30 milliards d'euros) étant apporté en garantie au Fonds européen de solidarité financière1 (FESF), lequel a emprunté sur les marchés financiers pour prêter à la Grèce.
Dans les deux cas ces prêts sont déjà comptabilisés dans la dette publique française (environ 2000 milliards €). Leur annulation n’augmenterait donc pas la dette.
La France devra-t-elle débourser ces sommes en cas d’annulation de la dette grecque ? Non, car en fait, la France, comme la plupart des pays, ne rembourse jamais vraiment sa dette. Lorsqu’un emprunt vient à échéance, la France le rembourse en empruntant de nouveau. On dit que l’État fait « rouler sa dette ».
La seule chose que perdraient les contribuables français, ce sont les intérêts versés par la Grèce, soit 15 € par Français et par an2.
La BCE pourrait résoudre facilement le problème de la dette grecque. Elle pourrait rayer d’un trait de plume les 28 milliards qu’elle détient. Elle pourrait racheter aux institutions publiques (États, FESF) les titres grecs qu’ils détiennent, et les annuler également. Ou bien les transformer – comme le demande la Grèce – en obligations perpétuelles, avec un taux d’intérêt fixe et faible, et pas de remboursement du capital. De toute façon une banque centrale ne court aucun risque financier puisqu’elle peut se refinancer elle-même par création monétaire.
Quelles leçons pour la France et l’Europe ?
En France aussi la dette publique est insoutenable et ne pourra pas être remboursée. Les taux d’intérêt sont très faibles aujourd’hui ? Oui, mais c’est parce que la France mène une politique d’austérité qui plaît aux marchés financiers. C’est aussi parce que les investisseurs financiers ne veulent plus courir le risque d’investissements dans le secteur productif. Pour en finir avec cette politique en France et en Europe, il faudra aussi alléger le poids des dettes, d’une façon ou d’une autre : restructuration, remboursement partiel par un prélèvement exceptionnel sur les grandes fortunes, annulation partielle... toutes les hypothèses doivent être étudiées et faire l’objet de choix démocratiques.
Idée reçue n°2 : Quand on doit, on rembourse ?
Le discours officiel sur la Grèce
« La Grèce devra rembourser sa dette » (Michel Sapin, 2 février) « Une dette est une dette. Rembourser est un devoir éthique pour un État de droit » (Marine Le Pen, 4 février)
Pourquoi c’est faux ?
Sauf rares exceptions, un État ne rembourse pas sa dette : il ré-emprunte pour faire face aux échéances. Au budget de l’État figurent les intérêts de la dette, jamais le remboursement de la somme empruntée (le principal). Contrairement à un particulier, l’État n’est pas mortel, il peut s’endetter sans fin pour payer ses dettes. C’est la différence avec l’emprunt d’une mère de famille qui, elle, est obligée de rembourser sa dette.
Mais quand les marchés financiers ne veulent plus prêter à un État, ou exigent des taux d’intérêt exorbitants, et que l’Etat n’a plus accès à la création monétaire de la Banque Centrale de son pays, les choses se gâtent. C’est pourquoi en 2011, quand les banques ont pris peur devant les difficultés de la Grèce, la BCE et les États européens ont du lui prêter.
Lire la suite "Grèce : petit guide contre les bobards médiatiques" »
15 mars 2015 à 15:56 dans Actualité, Economie: sur la crise... et la dette, International | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Lungone Dromença
Longue route
Des femmes Rroms du Kosovo exilées en France et en Allemagne
Film de Marie Christine Duchalet et Pierre Gadrey
Vendredi 20 mars 19h
Médiathèque, salle de conférences
23 rue de la République
Mâcon
"Lors de batailles administratives le collectif RESF de l'Allier a soutenu et accompagné pour qu'elle obtienne des papiers, une famille rrom du Kosovo : Fljuri, Sait A et leurs 3 enfants... Une relation privilégiée entre cette famille et nous s'est au fur et à mesure développée. Tout en s'apprivoisant les uns les autres, nous avons été accueillis dans une culture riche en échanges humains. Cette famille nous a fait partager son histoire dramatique et émouvante, son parcours chaotique à travers l'Europe: guerre civile de 91 en ex-Yougoslavie puis 99 en Serbie, racisme et oppression envers les rroms à Belgrade puis au Kosovo, exode et installation en France en 2006"
07 mars 2015 à 18:44 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Patrick Roulette
Dans le Monde du 17 décembre 2014, Monsieur Macron a été interrogé sur l’une de ses propositions, la création d’avocats d’entreprises. Il a précisé : « Je n’en fais pas un point dur », souhaitant ainsi trouver une solution « qui réponde aux besoins d’un certain nombre de grands groupes qui ont recours à des avocats d’entreprise étrangers ». Cette phrase peut paraître anodine, mais justifie d’un véritable travail en profondeur, mené déjà par de nombreux journalistes, sur les liens entre le Projet Macron et le partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (PTCI -TTIP en anglais), le plus souvent repris au travers du premier acronyme TAFTA (Transatlantic Free Trade Area).
Ce traité fait l’objet actuellement de négociations en phase de finalisation mais ces négociations échappent à toute participation et contrôle démocratique, dans la mesure où, le 14 juin 2013, la Commission européenne a obtenu un mandat de négociation sans que les Européens aient été consultés. Les différents éléments du mandat de négociations n’ont été diffusés que tardivement (9 octobre 2014) et seulement partiellement, les États-Unis s’étant refusés à communiquer les leurs ! L’un des points clés de ce traité réside dans la création de « l’Investor-to-State Dispute Settlement » (ISDS) ou en français le Règlement des différends entre investisseurs et États (RDIE), un mécanisme qui permet à une entreprise d’attaquer en justice un État.
Au plan international, de tels dispositifs existent déjà ainsi que le notaient Benoît Bréville et Martine Bulard, dans Le Monde Diplomatique de juin 2014 (1) : « Les recours des multinationales sont traités par l’une des instances spécialisées : le Cirdi, qui arbitre le plus d’affaires, la Commission des Nations unies pour le droit commercial international (CNUDCI), la Cour permanente de La Haye, certaines chambres de commerce, etc. Les États et les entreprises ne peuvent, le plus souvent, pas faire appel des décisions prises par ces instances : à la différence d’une cour de justice, une cour d’arbitrage n’est pas tenue d’offrir un tel droit. » Nous connaissons les conséquences de la mise en oeuvre de telles procédures qui, rappelons-le, opposent des sociétés (souvent multinationales) à des états.
Lire la suite "Loi Macron, pont législatif pour le TAFTA ?!" »
07 mars 2015 à 16:57 dans Actualité, Ailleurs, USA, Economie: sur la crise... et la dette, Ici, national | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
07 mars 2015 à 00:47 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Vendredi 27 février
19h30 à l'Axel
Cinéma AXEL 67 rue Gloriette - Chalon-sur-Saône
Projection en avant-première
du documentaire
LIBRES !
de Jean-Paul et Béatrice JAUD
suivie d'un débat animé par ACTE
en présence des réalisateurs
Après "Nos enfants nous accuseront", "Severn" et "Tous cobayes", Jean-Paul et Béatrice Jaud
nous font le plaisir de venir nous présenter leur nouveau documentaire.
" Été 2014. France - Joseph et ses amis passent leurs vacances dans une ferme bio pour suivre un stage "Musique et Nature". Ces enfants ignorent qu’à quelques kilomètres de là, 4 des 58 réacteurs nucléaires français, risquent de réduire à néant leur liberté. Japon - Hiroto et Nagomi vivent à 20 km de la centrale nucléaire de Fukushima - Daiichi, loin de leur pays natal. Avec une infinie tristesse, ils regrettent ces étés passés avec leurs amis en toute liberté, dans cette nature devenue aujourd’hui hostile. Il reste à ces enfants exilés, le ciel azur, la musique et la poésie pour survivre à la folie d’adultes qui ont hypothéqués leur avenir. Danemark – Île de Samsø. Emannuel, Niklas, Noah, Sofus et Victoria vivent insouciants et libres. « L’île de l’énergie » est pour eux un espace sacré, où ils pourront s’épanouir en toute sécurité, au cœur d’une nature généreuse, préservée grâce aux énergies renouvelables, confiants pour leur futur quotidien.
C’est ici que commencent pour ces enfants, un parcours initiatique sur les énergies renouvelables. Grâce à des adultes soucieux de leurs construire un futur durable, ils vont partager de merveilleuses expériences éducatives, musicales et poétiques, et découvriront que leur liberté est intimement liée à la transition énergétique".
Un partenariat ACTE - Cinéma AXEL
Association Chalonnaise pour la Transition
Énergétique, Écologique et Citoyenne
Renseignement : 03.85.93.57.54
02 mars 2015 à 11:49 dans Actualité, Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)