Rassemblement antifasciste,
samedi 8 juin, 11h
devant la statue Lamartine ,
Mâcon
Rassemblement antifasciste,
samedi 8 juin, 11h
devant la statue Lamartine ,
Mâcon
08 juin 2013 à 08:13 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
http://www.cameroonvoice.com/news/news.rcv?id=10646
Ceux qui voyaient dans la présidence d'Hollande la fin de la Françafrique ou une politique africaine de la France plus équitable, peuvent enfin se faire à la cruelle évidence de la realpolitik. Aminata Traoré, la militante altermondialiste malienne, n’a pas eu son visa Schengen, sur instruction de la France à tous les pays de l’espace Schengen.
Aminata Traoré paierait-elle cash sa prise de position audacieuse, contre l’intervention française au Mali, qui selon elle cacherait à peine de gros intérêts miniers et géostratégiques au Mali et dans la sous région ?
La France n’a pas d’amis elle n’a que des intérêts disait le Général De Gaule, et les intérêts eux, s’accommodent très mal de toutes voix discordantes.
L'ancienne ministre de la culture malienne et porte-flambleau du « Non à l'intervention militaire étrangère au Mali » livre à cameroonvoice son sentiment après cette déconvenue
Cameroonvoice : Nous avons appris avec stupéfaction que les autorités françaises ont refusé de vous accorder un visa d'entrée en France pour participer à une réunion publique le 22 avril dernier. Pouvez vous nous confirmer cette information?
Aminata Traoré : En fait, j'ai été invitée par Die Linke, un parti de gauche allemand, et des militants français. Je devais faire un tour à Berlin et par la suite donner une conférence à Paris et Lille. J'avais un visa de circulation de 4 ans de l'espace Schengen qui a expiré au mois de Février.
Quand je me suis rendue à l'ambassade d'Allemagne pour solliciter un droit d'entrée dans l'espace Schengen, ils m'ont accordé un visa de trois jours uniquement pour leur pays en me notifiant que la France a donné des instructions pour qu'aucun pays de l'espace Schengen ne m'accorde de visa.
Il y avait donc une interdiction de circulation dans l'espace Schengen vous concernant, dont vous ignoriez totalement l'existence?
Non non, on ne me l'avait pas notifié avant, c'est à la faveur de ce voyage que je l'ai su. J'ai été autorisée à aller en Allemagne et à revenir au Mali directement sans fouler le sol de l'espace Schengen mis à part l' Allemagne. Je ne sais pas si c'était une exception allemande, ou si les autres pays de l'espace Schengen pourront m'accorder la même « faveur ».
Ma liberté de circuler est maintenant restreinte. Les consulats européens échangent entre-eux, des listes de personæ-non-grata, et les dispositions changent selon la gravité du délit entre guillemets. En ce qui me concerne, je ne sais pas ce que l'on me reproche. Dans mon cas, j'ai eu la chance d'avoir cette ouverture de la part de l'Allemagne, mon compatriote Oumar Mariko( Secrétaire général du SADI, Ndlr), lui il n'a pas pu voyager du tout.
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02 mai 2013 à 21:36 dans Actualité, Ailleurs, Afrique, International | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
06 mars 2013 à 18:25 dans Actualité, Ecologie, environnement, Fukushima | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
http://www.m-pep.org/spip.php?article3197
M’PEP
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http://www.m-pep.org/spip.php?article3197
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L’Islam politique est-il soluble dans la démocratie ?
mercredi, 13 février 2013 / Samir AMIN |
Texte de Samir Amin diffusé par le M’PEP avec l’autorisation de l’auteur. Économiste franco-égyptien, Samir Amin est directeur du Forum du Tiers-Monde.
Le 14 février 2013.
Résumé
Samir Amin veut mettre les points sur les « i » à propos des partis politiques qui se revendiquent de l’islam. Il ne veut pas discuter de la possibilité éventuelle d’un « islam politique moderne » et encore moins de religion. Ce qui intéresse Samir Amin est une analyse de classe : quelles sont les politiques économiques et sociales menées par ces partis se réclamant de la religion, comment font-ils vivre la démocratie là où ils ont le pouvoir, à qui sert leur politique ? Pour lui, ces partis sont prétendument islamistes et donnent chacun leur interprétation de la religion, ils sont en fait réactionnaires et anti-démocratiques. Pour eux, l’Islam (ou Dieu) règlera tous les problèmes, tandis que pour les néolibéraux « le marché règlera correctement tous les problèmes ». Où est la différence ? Pour Samir Amin, « ces régimes enferment les sociétés qui sont leurs victimes dans l’impuissance totale face aux défis du monde contemporain. Ils acceptent la soumission à toutes les exigences du libéralisme économique mondialisé. »
Texte complet
Ce bref commentaire, qui vient en complément d’écrits plus étoffés de l’auteur, ne se veut ni provocateur, ni polémique. Je veux seulement mettre les points sur les i. Je rappelle donc, dans une forme brève, ce que j’ai écrit et répété : je n’y discute pas « d’un Islam politique moderne possible qui serait démocratique », mais des partis qui existent sur le terrain et se revendiquent de l’Islam. Je ne discute pas davantage – et encore moins – de l’Islam comme religion.
Je me suis exprimé souvent, en arabe, en français et en anglais, et avec précision, sur ce que j’entends par « Islam politique réactionnaire », raccourci pour la périphrase que je rappelle de temps à autre : « mouvement prétendu islamique et de fait politique réactionnaire et anti-démocratique ».
Je précise que ce qui doit être l’objet du débat ce n’est pas la qualification « d’Islamique » que ces mouvements se donnent. Par exemple je n’ai pas condamné le président Moursi parce qu’il est, ou se déclare, Islamique ou Frère Musulman. Je le juge sur la politique économique et sociale qu’il met en œuvre. Celle-ci accepte sans la moindre hésitation le libéralisme économique, la liberté non entravée des marchés, y compris celui du travail, avec tous leurs effets sociaux catastrophiques. Peu importe qu’il « légitime » cette politique en la prétendant conforme aux principes fondamentaux de l’Islam tels qu’il les entend (« l’Islam respecte la propriété privée », etc). C’est là une interprétation possible de l’Islam. Il y en a d’autres également possibles, qui conduisent à des conclusions différentes. J’ai moi-même contribué à faire connaître par exemple Mahmoud Taha, théologien (en arabe fiqh) musulman de la libération, condamné par tous les mouvements qui se réclament de l’Islam et dont j’ai préfacé la traduction française du livre majeur. Mais la conformité de telle ou telle politique aux principes de l’Islam n’est pas mon problème. Je n’entre pas dans le jeu : ce parti qui s’auto-proclame Islamique, l’est-il ou non ? Je veux contraindre les défenseurs de tel ou tel parti « islamique » à entrer dans la discussion des politiques mises en œuvre, non de leur légitimation islamique ou autre. Car ces mêmes politiques sont mises en œuvre par des partis qui se réclament de la laïcité, voire des partis « anti-religieux ». Elles sont toutes également réactionnaires.
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17 février 2013 à 02:13 dans Actualité, Ailleurs, Afrique, International | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
30 janvier 2013 à 18:54 dans Actualité, Les films | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Le comité de soutien aux opposants à l'aéroport de Notre Dame Des Landes de Mâcon a été officiellement créé cette semaine par plus d'une trentaine de personnes, des citoyens aux parcours personnels, politiques, associatifs divers qui retrouvent dans la résistance à ce projet d'aéroport beaucoup de leurs valeurs.
Le comité de Mâcon s'ajoute aux 180 comités de soutien existant déjà. Il refuse la construction d'un aéroport au milieu du bocage nantais, envisagé au temps du Concorde et obéissant à une logique dépassée. Les membres du comité dénoncent un projet et un investissement inutiles, en partie dévolu au privé et à la multinationale Vinci, au coût final sous-estimé par les promoteurs du projet qui, dans le même temps ont surestimé son apport d'emplois et de dynamisation pour la région. L'agglomération nantaise n'a pas besoin d'un nouvel aéroport, elle en a déjà un, classé parmi les meilleurs de sa catégorie et fonctionnant au tiers de ses possibilités !
Nous soutenons celles et ceux qui se battent depuis des années contre ce projet, en particulier les habitant-es, les paysan-nes, ceux qui vivent sur le territoire de la ZAD (Zone à Défendre). Depuis la mi-octobre, ils subissent quotidiennement violence et contrôles policiers. Un dispositif inédit et très coûteux en France et en zone rurale...
Ce projet d'aéroport nous concerne toutes et tous. Il s’agit de notre patrimoine culturel et environnemental, de notre alimentation, de gaspillage d'argent public et d'un monde toujours tenté par la fuite en avant, inspiré par un modèle économique inégalitaire et à bout de souffle. Alors même qu'il est urgent de construire un autre monde...
Le comité de soutien mâconnais entend mieux informer les Bourguignons et Saône-et-Loiriens des véritables enjeux de la résistance sur place, souvent caricaturée. Il mènera des actions en ce sens, pour alerter responsables locaux et citoyens sur cette dépense inutile en ces temps de disette imposée pour une majorité de Français.
09 janvier 2013 à 13:33 dans A lire, Actualité, Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
01 janvier 2013 à 17:56 dans Actualité, Ecologie, environnement, Fukushima, Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
10 décembre 2012 à 08:08 dans A lire, Actualité, Economie: sur la crise... et la dette, L'info que vous n'avez pas | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Ce soir, mercredi 5 décembre 19h30 au Bazar café , 34 rue Dufour à Mâcon
Des nouvelles de la ZAD avec des occupants du site....
Nous sommes tous des salamandres de feu 3 par rousty
05 décembre 2012 à 17:16 dans Actualité, Ecologie, environnement, Fukushima, Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
http://www.acrimed.org/article3940.html
le 19 novembre 2012
Nous publions ci-dessous une tribune initialement parue en anglais le 14 novembre 2012 sur le site Mondoweiss et signée par Hagit Borer (Royaume-Uni), Antoine Bustros (Canada), Noam Chomsky (États-Unis), David Heap (Canada), Stephanie Kelly (Canada), Máire Noonan (Canada), Philippe Prévost (France), Verena Stresing (France) et Laurie Tuller (France).
Tandis que les nations d’Europe et d’Amérique du Nord commémoraient, le 11 novembre, les pertes militaires de guerres passées et présentes, Israël ciblait des civils. Le 12 novembre, à l’orée d’une nouvelle semaine, les lecteurs étaient inondés, pendant leur petit-déjeuner, de comptes rendus déchirants relatant les pertes humaines militaires passées et actuelles. Cependant, on semblait taire le fait essentiel selon lequel les pertes humaines les plus importantes lors des conflits armés contemporains touchent les populations civiles. Le matin du 12 novembre était également marqué par une absence criante d’information relatant les attaques militaires sur Gaza qui se sont poursuivies pendant tout le week-end. Une recherche superficielle confirme cette omission sur le réseau de télévision canadien Canadian Broadcasting Corporation (CBC) et les journaux canadiens dont le Globe and Mail, la Gazette de Montréal et le Toronto Star. De même en ce qui concerne le New York Times, la BBC, et les chaînes françaises de télévision France 2 et TF1.
Selon le rapport du Centre palestinien pour les droits de l’homme (PCHR) daté du 11 novembre, cinq civils palestiniens, dont trois enfants, avaient été tués dans la bande de Gaza dans les soixante-douze heures précédentes, en plus de deux membres de la sécurité palestinienne. Quatre de ces décès étaient dus à des tirs d’obus de Tsahal sur des enfants jouant au football. De plus, cinquante-deux civils ont été blessés, dont six femmes et douze enfants. (Depuis que nous avons commencé à rédiger ce texte, le nombre de victimes palestiniennes a d’ailleurs augmenté et continue de croître.)
Les articles qui rapportent les meurtres commis se concentrent en grande majorité sur l’élimination des membres de la sécurité palestinienne. Par exemple, un article d’Associated Press (AP) publié par la CBC le 13 novembre, intitulé Israel mulls resuming targeted killings of Gaza militants (« Israël réfléchit à la reprise des éliminations ciblées de militants de Gaza ») ne fait aucune mention des morts et des blessés parmi la population civile. Il caractérise les meurtres « d’assassinats ciblés ». Le fait que les pertes humaines soient dans une large mesure des victimes civiles, indique qu’Israël n’est pas tant engagée dans des meurtres « ciblés » que dans des assassinats « collectifs », commettant ainsi à nouveau le crime de punition collective. Un autre article d’AP, paru au bulletin d’informations de la CBC le 12 novembre et intitulé Gaza rocket fire raises pressure on Israel government (« Des tirs de roquettes mettent la pression sur le gouvernement israélien »), est accompagné de la photo d’une femme israélienne regardant un trou dans le plafond de son salon. Et là encore, aucune image, ni aucune mention des nombreuses victimes et des cadavres à Gaza. Dans le même ordre d’idées, la BBC titrait, le 12 novembre, Israel hit by fresh volley of rockets from Gaza (« Israël frappée par une nouvelle pluie de roquettes tirées depuis Gaza »). La même tendance se retrouve dans d’autres grands médias européens.
La couverture des premiers moments de la présente exacerbation insiste principalement sur les roquettes tirées depuis Gaza, dont aucune n’a causé de blessés ni de morts [1]. Ce qu’on ignore sciemment, ce sont les bombardements touchant la bande de Gaza qui, eux, ont causé de nombreuses victimes, dont des morts et plusieurs blessés graves. Nul besoin d’être un expert en science des médias pour comprendre qu’on a affaire au mieux à des reportages bâclés et biaisés, et au pire à une manipulation sciemment malhonnête du lectorat.
De plus, les articles mentionnant les victimes palestiniennes à Gaza rapportent systématiquement que les opérations militaires israéliennes était en représailles à des tirs de roquettes et à deux soldats blessés. Cependant, si l’on examine la chronologie des événements, la flambée de violence actuelle a débuté le 5 novembre dernier, quand un innocent âgé de 20 ans et souffrant apparemment de troubles mentaux, Ahmad al-Nabaheen, a été tué alors qu’il déambulait près de la frontière. Les médecins ont dû patienter pendant six heures avant d’être autorisés à le secourir, et ils pensent que son décès est très certainement dû à cette attente. Puis, le 8 novembre, un garçon âgé de 13 ans qui jouait au football devant sa maison a été tué par les forces d’occupation israéliennes qui avaient fait une incursion dans le territoire de la bande de Gaza avec des chars d’assaut et des hélicoptères. Le fait que quatre soldats israéliens aient été blessés à la frontière le 10 novembre faisait donc partie d’une série d’événements incluant la mort de civils de Gaza, et n’en constituait en aucun cas l’élément déclencheur.
Nous, les signataires de ce texte, sommes récemment rentrés d’un séjour dans la bande de Gaza. Certains d’entre nous sommes en contact direct avec des Palestiniens vivant à Gaza à travers les réseaux sociaux. Pendant deux nuits d’affilée, le 10 et le 11 novembre, les Palestiniens de Gaza ont été privés de sommeil à cause du survol incessant de drones et d’avions F16 et de bombardements aveugles de leur territoire densément peuplé. L’objectif de ces opérations semble clair : il est de terroriser la population, objectif atteint d’ailleurs, comme nous pouvons l’affirmer grâce aux témoignages de nos contacts sur place. S’il n’y avait pas eu de messages affichés sur Facebook, nous n’aurions pas conscience du degré de terreur ressenti par les civils palestiniens ordinaires de Gaza. Ceci contraste vivement avec ce que le monde sait du choc ressenti par les citoyens israéliens victimes des tirs de roquettes.
Selon un rapport non officiel envoyé le 11 novembre par un médecin canadien qui se trouvait à Gaza et qui a apporté son aide au service d’urgences de l’hôpital de Shifa durant le week-end, « les blessés étaient tous des civils présentant de multiples blessures de perforation provenant d’éclats d’obus : lésions cérébrales, blessures au cou, hemo-pneumothorax, tamponnade péricardiale, rupture de la rate, perforations intestinales, membres déchiquetés, amputations traumatiques. Tout ceci sans aucun écran de contrôle, avec peu de stéthoscopes, une seule machine à ultrasons… Plusieurs victimes souffrant de blessures graves mais n’engageant pas leur pronostic vital ont été renvoyées chez elles avant d’être examinées de nouveau le lendemain matin à cause du nombre considérable de blessures graves à traiter. La profondeur des blessures dues aux éclats d’obus donnait froid dans le dos. De petites blessures au demeurant, mais avec des dégâts internes massifs… Et tout cela avec très peu de morphine disponible pour atténuer la douleur. » Apparemment, ce genre de scènes n’est pas digne d’être rapporté par le New York Times, la CBC, la BBC.
Les préjugés et la malhonnêteté qui caractérisent la couverture de l’oppression palestinienne par les médias occidentaux ne sont pas nouveaux ; ceci a été amplement documenté. Pourtant, Israël continue à commettre des crimes contre l’humanité avec l’assentiment total et le soutien moral, financier et militaire de nos gouvernements, que ce soit les États-Unis, le Canada ou l’Union européenne. Benyamin Netanyahu est en ce moment même en train de recueillir le soutien diplomatique des pays occidentaux en vue d’attaques à venir sur Gaza, ce qui nous fait craindre qu’une nouvelle opération du même type que « Plomb durci » se profile à l’horizon. En fait, les événements les plus récents confirment qu’une telle escalade est déjà en état de marche, tel que le montre le décompte des morts aujourd’hui. L’absence d’indignation populaire massive face à ces crimes est une conséquence directe de la dissimulation systématique des faits et de la manière distordue dont ces crimes sont rapportés.
Nous souhaitons exprimer notre indignation concernant la couverture médiatique scandaleuse de ces événements dans les grands médias. Nous appelons les journalistes du monde entier travaillant pour des antennes de ces grands médias à refuser d’être instrumentalisés à travers cette politique systématique de manipulation. Nous appelons également les citoyens à s’informer en consultant les médias indépendants et à laisser leur conscience s’exprimer ouvertement de la manière qu’ils jugent la plus efficace et appropriée.
[1] Le texte a été écrit avant la mort de trois civils israéliens dans un tir de roquettes, qui s’est produite le 15 novembre, soit le lendemain du déclenchement “officiel” de l’opération israélienne et plusieurs jours après les événements relatés ci-dessus.
21 novembre 2012 à 18:51 dans A lire, Actualité, Ailleurs, Proche Orient, International | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)