Réuni le 20 janvier, le collectif pour le maintien et le développement de toutes les activités des deux centres hospitaliers communautaires a pris la décision de poser publiquement les questions suivantes qui trottent dans les têtes de la population et des personnelshospitaliers. Compte-tenu de l'obligation d'un retour à l'équilibre financier exigé du Groupement de Coopération Sanitaire (G.C.S.) par des réductions de personnels dans les deux sites : Combien sont condamnés à disparaitre à l'Hôtel-Dieu et au C.H. de Montceau et précisément dans quels services ? Quelle différence négative entre l'offre actuelle de lits proposés par les deux sites et celle réduite au seul Hôtel-Dieu par le GCS ? Comment une telle nouvelle charge de patients sera-t-elle absorbée par ce seul centre hospitalier alors qu'à Montceau ont éprouve parfois de la peine à accueillir et traiter tous les patients et avec des passages aux urgences en hausse de 5%? Quels coûts supplémentaires seraient à supporter pour les charges de transports, de transferts, par la sécu, par les patients notamment pour les consultations. Le collectif comprend très bien l'inquiétude des personnels confrontés au manque d'effectifs qui entraine la dégradation de leurs conditions de travail. Mais attention,le GCS n'est pas la solution mais un leurre. Déjà du fait que l'application stricto-sensu du SROS ne garantit aucun avenir à l'Hôtel-Dieu avec le GCS sommé de retrouver un irréalisable équilibre financier comme argumentaire pour lui asséner le coup de grâce. Et ensuite parce que la vraie solution consiste à doter les deux centres hospitaliers de moyens financiers qui leurpermettent de recruter. Comme la Générale de Santé pour ses cliniques privées grâce à la tarification à l'activité (T2A).Ainsi elle a prévu d'avoir"une politique permanente derecrutement en raison de la croissance interne et externe de la société cotée en bourse,accompagnée d'une politique de rémunération conpétitive avec pour objectif le doublement de taille de la Société ". Comme quoi les malheurs du secteur public hospitalier font le bonheur des actionnaires des cliniques privées. Pour toute ses questions le collectifentend se rendre aux séances de février des quatre Conseils municipaux des principales communes du Bassin Minier, à charge pour les maîres de collecter au préalable auprès des autorités des réponses précises à ces questions.Le collectiflance un appel à tous les élus pour ensemble rassenbler toutes celles et tous ceux qui ont appelé à la manifester le 13 décembre pour aller à une nouvelle manifestation encore plus puissante et plus déterminée.Car le référé, même gagné, n'aura qu'un éffet très éphémère surtout si le projet de loi Bachelot est voté.Il appelle à participer nombreux à la manifestation du 29 janvier à 15h devant la mairie de Montceau.
Les adhérents au collectif : Association pour l'Expression de la Citoyenneté, le Collectif Unitaire pour une Alternative au Libéralisme, Partie Ouvrier Indépendant, Union Locale CGT, Section de Montceau du PCF, Association des Usagers des Hopitaux, Association Bébés-Plaisirs, Syndicat des Mineurs CGT, Collectif Montceau: Ensemble à Gauche Autrement, Retraités CGT Multi-Pro, Nouveau Parti Anticapitaliste, Bérnard Cois Conseiller Municipal à Saint Vallier et Lucien Chaux Conseiller à Montceau
Les adhérents au collectif : Association pour l'Expression de la Citoyenneté, le Collectif Unitaire pour une Alternative au Libéralisme, Partie Ouvrier Indépendant, Union Locale CGT, Section de Montceau du PCF, Association des Usagers des Hopitaux, Association Bébés-Plaisirs, Syndicat des Mineurs CGT, Collectif Montceau: Ensemble à Gauche Autrement, Retraités CGT Multi-Pro, Nouveau Parti Anticapitaliste, Bérnard Cois Conseiller Municipal à Saint Vallier et Lucien Chaux Conseiller à Montceau
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