Après le foot, la ville de Gueugnon a acquis une nouvelle « notoriété » que France 3 s'apprête à médiatiser. Dans son émission « Pièces à conviction » du 11 février, la gestion de la décharge radifère est pointée du doigt. La non-information du public est visée.
Alors que l'
Non-information du
public;
Et pour le lancement de cette émission, la ville de
Gueugnon a été choisie « c'est là où la dernière affaire a été dévoilée, confie
Elise Lucet, c'est dire que la non-information a duré longtemps au détriment de
la santé publique. Comment a-t-on pu laisser faire ça ! ». Le tournage s'est
déroulé hier entre l'
Mais le plus important est l'impact de
l'émission. Plus on en parle, mieux c'est ! C'est en tout cas le but émis par
Possible interdiction de
diffusion;
« Nous n'avons pas la prétention de produire une émission
pleine de certitudes, conclut Mme de
Les
pressions dans ce genre de situation sont légions.
Emission pièces à
conviction « le scandale de la France |
Le
11 février à 20h35 sur France
3 | ||
|
|
|
La CRIIRA
D
a apporté son appui
scientifique à la réalisation de reportages pour un numéro de « Pièces à
conviction » consacré aux déchets et pollutions laissées par
l’exploitation des mines d’uranium.
La CRIIR A
Sous le titre
« le scandale de la France
contaminée », il doit être diffusé mercredi 11
février à 20h35 sur France 3.
la France
Nous espérons que vous pourrez le regarder
car il s’annonce passionnant. Vous y retrouverez plusieurs des études réalisées
par le laboratoire de la
CRIIR
A
D
: à
Saint-Priest-La-Prugne dans la
Loire
, La
Crouzille
en Haute-Vienne, Gueugnon en Saône-et-Loire,
Saint-Pierre dans le Cantal….
la CRIIR
A
D
la Loire
La Crouzille
Encore faut-il que l’émission soit
diffusée !
A
reva vient en effet
de saisir le Conseil Supérieur de l’A
udiovisuel (cf. ci-dessous) et fera son possible
pour empêcher la diffusion d’informations susceptibles d’écorner son image de
marque.
A
A
Réponse le 11 février prochain.
N’hésitez pas à faire circuler cette info
et à avertir vos parents et amis.
Plus d’info sur le dossier des mines
d’uranium : www.criirad.org
1.
Site internet d’Europe
1
http://www.europe1.fr/Info/Actualite-Economie-et-Societe/Environnement/Controverse-autour-de-l-emission-Le-scandale-de-la-France-contaminee-sur-France-3/(gid)/198578
Controverse autour de l'émission "Le scandale de
la France
contaminée" sur France 3
la France
Créé le 29/01/09 - Dernière mise à jour à 12h35
Le 11 février, le nouveau numéro du
magazine "Pièces à conviction" sur France 3 évoquera "le scandale de
la France la
France. Ce A A
Le groupe A A A A A A
Le sujet de la controverse :
l'émission qui défend l'idée selon laquelle, en toute discrétion, dans nos
campagnes, à proximité des villages ou des villes, des déchets
radioactifs extrêmement dangereux ont été disséminés, ou ensevelis
méthodiquement, depuis des dizaines d'années. Pire encore, ils ont parfois servi
à construire des routes, des parkings, et même des logements, des écoles ou des
aires de jeu pour les enfants, sans aucune mise en garde sur les risques
encourus. C'est cette situation que France 3 évoquera dans son magazine "Pièces
à conviction" le 11 février prochain.
A
vec une édition intitulée "Le scandale de
la France
contaminée".
Le magazine s’ouvrira sur un
reportage à Gueugnon, en Saône-et-Loire. Sur le parking d'un
stade, le détecteur de radiation d'un spécialiste de
la Criirad
(Commission de Recherche et d'Information Indépendante sur
la Radioactivité
) crépite à tout va. Là, sur une superficie de
12 hectares
, près de 225.000 tonnes de déchets radioactifs ont été dispersés sur un terrain ouvert à tout venant. Ironie du sort, ce terrain a même accueilli un "parcours de santé". Gueugnon est "la toute dernière ville ayant découvert qu'elle était concernée par ce problème des déchets radioactifs", selon Elise Lucet, présentatrice du magazine.
A
u total, selon les enquêteurs du magazine, entre 1945 et 2001 plus de 300 millions de tonnes de déchets radioactifs, résidus des 210 mines exploitées en France, ont été abandonnées sans mesure de protection ou de surveillance particulière. L'enquête fait également état de liens étroits entre ceux qui sont officiellement chargés de mesurer la radioactivité dans la
nature et les
anciens pollueurs. Négligence ou véritable "omerta" des pouvoirs publics ? Une pierre radioactive à la main en guise d'argument, Elise Lucet se propose de demander des explications à Jean-Louis Borloo, ministre de l'Ecologie, qui sera interrogé séparément.
Malgré le fait que les mines
d'uranium françaises ne soient plus en activité depuis
plusieurs années, cette pollution qu'il s'agisse de minerais "stériles" (trop
pauvre en uranium pour devenir du combustible nucléaire) ou d'autres résidus de
l'activité minière, peut s'avérer dangereuse à long terme, assurent les
enquêteurs du magazine.
A
reva (ex-Cogema) soutient le contraire, estimant extrêmement improbable l'hypothèse d'une exposition prolongée évoquée par l'émission. Sa présidente,
A
nne Lauvergeon, n'a pas souhaité apparaître dans l'émission et a laissé à un porte-parole le soin de répondre à Elise Lucet lors du débat prévu sur le plateau.
A
nne Lauvergeon, d'autre part, sera récompensée par le trophée des "Créateurs sans frontières" pour son action en faveur du rayonnement de
la France
à l'étranger. Ironique pour quelqu'un qui participe à l'irradiation intérieure de
la France.
2.
Dépêche A
Déchets
d'uranium : le cri d'alarme de "Pièces à conviction"
P A la
France
Pour son
numéro du 11 février, le magazine d'information de France 3 évoque "le scandale
de la France
Un
reportage à Gueugnon, localité tranquille de Saône-et-Loire, ouvre le magazine.
Sur le parking d'un stade, le détecteur de radiation d'un spécialiste de
la Criirad 12 hectares
Gueugnon
est "la toute dernière ville ayant découvert qu'elle était concernée par ce
problème des déchets radioactifs", selon Elise Lucet, présentatrice de ce
magazine que France 3
a
Les mines
d'uranium françaises ne sont plus en activité depuis plusieurs années. Mais
cette pollution, qu'il s'agisse de "stériles" (minerai trop pauvre en uranium
pour devenir du combustible nucléaire) ou d'autres résidus de l'activité
minière, peut s'avérer dangereuse à long terme, assurent les enquêteurs de
"Pièces à conviction".
A
reva (ex-Cogema) soutient le contraire, estimant extrêmement improbable l'hypothèse d'une exposition prolongée évoquée par l'émission. Sa présidente,
A
nne Lauvergeon, n'a pas souhaité apparaître dans l'émission et a laissé à un porte-parole le soin de répondre à Elise Lucet lors du débat prévu sur le plateau.
A
u total, selon les enquêteurs du magazine, plus de 300 millions de tonnes de déchets radioactifs, résidus des 210 mines exploitées en France, ont été abandonnées sans mesure de protection ou de surveillance particulière.
L'enquête
fait également état de liens étroits entre ceux qui sont officiellement chargés
de mesurer la radioactivité dans la nature et les
Négligence
ou véritable "omerta" des pouvoirs publics ?
Une pierre
radioactive à la main en guise d'argument, Elise Lucet se propose de demander
des explications à Jean-Louis Borloo, ministre de l'Ecologie, qui sera interrogé
séparément.
(© A
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