Samedi 8 avril à Mâcon
11 mars 2024 à 18:02 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0)
Samedi 8 avril à Mâcon
21 mars 2017 à 19:27 dans Actualité, Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)
15 mars 2017 à 11:12 dans A lire, Actualité, Ici, national | Lien permanent | Commentaires (0)
Les Migrants
chez Nathalie
34 Rue Joseph Dufour
71000 Mâcon
03 85 50 72 44
Mercredi 1 mars ;19h30
http://www.lacimade.org/affirmer-la-legitimite-de-la-solidarite/
http://www.lacimade.org/presse/le-gouvernement-organise-un-durcissement-sans-precedent-de-lacces-a-lassurance-maladie-pour-les-etrangers-residant-legalement-en-france/
27 février 2017 à 08:05 dans Actualité, Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)
http://www.anti-k.org/2017/01/01/tuer-pour-civiliser-au-coeur-du-colonialisme/
« Halte à la repentance ! » piaffent-ils en chœur de leurs perchoirs. « Les Français » n’auraient qu’une passion : « la haine de soi » pour mieux expier un passé dont ils ne sont plus fiers. Le siècle dernier fut celui des luttes d’indépendance ; l’affaire, puisqu’entendue, serait donc à classer — à l’heure où Eric Zemmour, jurant à qui veut l’entendre de l’évidence du « rôle positif » de la colonisation, caracole sur les étals des librairies ; à l’heure où Alain Finkielkraut, assurant que les autorités hexagonales ne firent « que du bien aux Africains », est sacré à l’Académie ; à l’heure où l’auteur de Vive l’Algérie française !, nous nommons Robert Ménard, a transformé la ville de Béziers en sujet d’actualité, les « vieilles lunes » n’ont-elles pas encore certaines choses à dire ? L’historien Alain Ruscio remonte le temps pour nous faire entendre ces voix qui, de gauche à droite, appelèrent à la guerre par souci, cela va de soi, de « pacification ». ☰ Par Alain Ruscio
Commençons en 1580. Un penseur français, des plus fameux, écrit ces lignes, devenues célèbres, que les plus intransigeants anticolonialistes du XXe siècle n’auraient sans nul doute pas désavouées : « Tant de villes rasées, tant de nations exterminées, tant de millions de peuples passés au fil de l’épée, et la plus riche et belle partie du monde bouleversée pour la négociation des perles et du poivre ! […] Jamais l’ambition, jamais les inimitiés publiques ne poussèrent les hommes les uns contre les autres à si horribles hostilités et calamités si misérables. » On aura reconnu Michel de Montaigne, l’auteur des Essais. Combien, depuis cette époque et ces lignes, à l’ombre des drapeaux des puissances colonisatrices, d’autres « villes rasées », de « nations exterminées », de « peuples passés au fil de l’épée » ? On pourrait se contenter de cette question, sans crainte d’être contredit, et entrer dans les détails et les descriptions, pour le moins horrible, des fusillades, des razzias, des décapitations, des corvées de bois, des tortures, des viols, de l’utilisation de l’aviation, des armes chimiques, du napalm… On pourrait citer mille auteurs qui protestèrent, de Victor Hugo (« L’armée faite féroce par l’Algérie ») à Anatole France, en passant par Albert Londres, André Gide, Malraux, Aragon, Sartre ou encore François Mauriac… On pourrait, certes. Mais nous resterions dans le comment ; nous devons plutôt tenter de comprendre le pourquoi.
« Cette matrice a un nom : l’idéologie coloniale. La violence n’est pas fortuite, mais nécessaire. Obligatoire. »
Les violences coloniales sont le fruit de la rencontre conflictuelle entre, de la part des hommes « blancs », un esprit de conquête et de suffisance, porté par un racisme, alternativement agressif ou paternaliste (mais qui se voulait en tout état de cause constatation de l’évidence), et, de la part des hommes « de couleur », un refus de cette conquête, puis une résistance, basés sur un sentiment national ou, tout simplement, sur l’instinct de survie. Prenons, pour asseoir cette proposition, la première expédition coloniale de l’ère moderne : la campagne d’Égypte, lancée en mai 1798 et conduite par le général Bonaparte.
Lire la suite "Tuer pour civiliser : au cœur du colonialisme " »
02 janvier 2017 à 08:00 dans Actualité, Ailleurs, Afrique, Europe, Histoire | Lien permanent | Commentaires (0)
Nos sociétés sont violentes, mais pour avoir une mesure un peu plus fidèle de cette violence il faudrait additionner le nombre de crimes et agressions, le nombre de suicides, le nombre de morts et blessés graves de circulation routière, aérienne et maritime, le nombre d’accidentés du travail, le nombre de viols et agressions sexuelles, le nombre de violences conjugales… Pire nos sociétés connaissent sans doute une augmentation de la violence. A plus court terme les assassinats commis à Toulouse, à Montauban, à Paris à Charlie Hebdo, à l’Hyper casher, au Bataclan et dans les rues avoisinantes, a Nice sur la promenade des Anglais, mais aussi les meurtres des policiers, et encore la permanence d’un chômage de masse qui entraine une surmortalité des chômeurs (accidents routiers, suicides, agressions…), l’importance des noyades en Méditerranée que les traités européens et surtout la morale obligent la France à prendre en compte et enfin, bien qu’on n’en parle peu, l’existence des victimes des bombardements de l’aviation française au Moyen Orient dont la France est directement responsable, ont amplifié cette violence. Cette mesure répétée année après année montrerait qu’une fois un taux atteint il ne diminue pas tant que dure l’état de la société qui l’a engendré.
Le seuil de tolérance à une violence considérée, à un moment donné, comme normale ou inévitable a sans doute d’autant plus augmenté que la violence est vite devenue l’objet d’une guerre des médias. Apprécier ou déprécier un mouvement social et les agents qui sont fait par lui et qui le font vivre est essentiel à qui veut légitimer ou délégitimer la violence. L’utilisation du terme « casseur » constitue un exemple parfait de cette pratique : le terme était déjà utilisé en 1979, lors des manifestations contre la fermeture des installations sidérurgiques, pour stigmatiser les pratiques non conventionnelles, non routinières, que des ouvriers utilisaient pour se faire entendre dans une situation où l’Etat refusait la négociation. Il est vrai que l’Etat, les classes dominantes, les détenteurs du pouvoir économique sur les médias expriment souvent leur connivence dans la dépréciation symbolique de ceux qui remettent en cause leurs décisions.
L’origine de la violence est structurelle. La violence des institutions, des décisions politiques, des stratégies économiques en engendrant des inégalités précède et entraine la violence des comportements. On peut affirmer sans risque d’erreurs que cette violence structurelle dépend de l’écart entre les revenus , de l’absence ou du délitement du droit du travail ici et du droit de la personne ailleurs, de l’absence de travail qui défait les liens d’interdépendance fonctionnelle et enfin de l’assignation des individus dans des positions sociales stigmatisées.
06 décembre 2016 à 10:50 dans Actualité, Ici, national | Lien permanent | Commentaires (0)
Violence sociale , violences d'Etat
chez Nathalie
chez Nathalie
34 Rue Joseph Dufour
71000 Mâcon
03 85 50 72 44
L'israëlisation du monde. Christophe Ayad . le Monde
https://la-bas.org/les-emissions-258/les-emissions/2015-16/violences-policieres-brisez-le-silence
http://la-bas.org/les-emissions-258/les-emissions/2015-16/2-900-salaries-perdent-leurs-chemises
04 décembre 2016 à 11:19 dans Actualité, Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)
Vous invite
Mercredi 7 décembre , 19h 30
salles du Pavillon
(salle 3)
5 rue de l'Héritan
71000 Mâcon
Rencontre - débat
avec
Georges Gumpel
membre de l'Union Française Juive pour la Paix
la campagne internationale
Boycott-Désinvestissement-Sanctions
28 novembre 2016 à 17:21 dans Actualité, Ailleurs, Proche Orient, L'info que vous n'avez pas , Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)
25 novembre 2016 à 19:15 dans Actualité, Ici, national, Les films | Lien permanent | Commentaires (0)
http://www.acatfrance.fr/actualite/un-adepte-de-la-torture-a-la-maison-blanche
Donald Trump sera le prochain président des Etats-Unis. Très tôt durant la campagne pour les élections présidentielles, celui-ci a pris position en faveur de la torture. L’ACAT s’engage à redoubler de vigilance sur les violations des droits de l’homme aux Etats-Unis.
En novembre 2015, Donald Trump avait déclaré qu’il rétablirait « absolument » la simulation de noyade comme technique d’interrogatoire et « ferait même bien pire encore ». La méthode de torture du waterboarding consiste à verser de l'eau sur un tissu placé sur le nez et la bouche d'un prisonnier. Elle a été interdite par l’administration Obama, après avoir été mise en place sous la présidence de George W. Bush à la suite des attentats du 11 septembre 2001. Un rapport du Sénat américain a montré que la torture utilisée par l’administration Bush n’avait jamais permis de recueillir des renseignements fiables.
M. Trump a en outre justifié la torture en arguant qu’il fallait « frapper les sauvages ». Il avait considéré après les attentats de Paris que torturer le terroriste Salah Abdeslam aurait pu éviter les attentats de Bruxelles. Le futur président américain a par ailleurs déclaré qu’il garderait ouvert le centre de détention de Guantanamo et qu’il le « remplirait de sales types ».
Début 2016, Donald Trump avait aussi déclaré que « le problème, ce sont les Conventions de Genève », qui régissent le droit international humanitaire. Selon lui, les soldats américains ont peur de se battre dans le cadre de la lutte antiterroriste à cause de « toutes les sortes de règles et régulations » qu’elles contiennent. Il demande par conséquent « des changements, des ajustements » des Conventions de Genève.
A propos de la peine de mort, Donald Trump a affirmé que la peine de mort dissuadait les criminels - ce qu'aucune étude statistique n"a jamais réussi à prouver - et que l'injection létale était « une façon trop confortable pour (les) criminels de mourir ».
Il faudra juger Donald Trump par ses actes. Mais après une campagne empreinte de racisme, misogynie et xénophobie, on peut craindre le pire. C’est pourquoi l’ACAT s’engage à rester vigilante.
12 novembre 2016 à 20:46 dans Actualité, Ailleurs, USA | Lien permanent | Commentaires (0)