05 décembre 2019 à 20:48 dans Actualité, L'info que vous n'avez pas | Lien permanent | Commentaires (0)
Téléchargement Invitation Forum SANTE_20 octobre 2018
Samedi 20 Octobre 2018
14h à 18h
Palais de Justice de Tournus
Salle 15
La santé se réduit-elle à l’absence de maladie ou à la médecine ?
Quels obstacles nous empêchent d’être en bonne santé ? Quels sont nos besoins en matière de santé ?
Quels impacts sur notre vie quotidienne vont avoir les mesures gouvernementales sur la santé et la sécurité
sociale ?
Comment chacun peut-il défendre et améliorer sa propre santé et celle de ses proches ?
Nous vous proposons de réfléchir et de chercher ensemble des alternatives locales et globales.
UN FORUM, POUR QUOI FAIRE ?
Initiés depuis 2015 par des habitants du Tournugeois, rassemblant citoyens sans étiquette ou engagés dans différents collectifs ou associations (ACTE - Ateliers Citoyens pour la Transition Écologique, A.S.R - Action Solidarité Rurale, Attac, Ensemble 71, Ecologic Action), syndicats (Confédération paysanne, CGT, Solidaires) ou partis (E.E.L.V, PCF, FI), les FORUM 71 sont des lieux d’échange et de réflexion sur les grandes questions qui impactent nos vies au quotidien : Démocratie, Travail et Rémunération, Industrialisation et Service public, à quoi sert de parler du capitalisme, Santé…
17 octobre 2018 à 10:51 dans Actualité, Ici, national, L'info que vous n'avez pas , Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)
21 août 2012 / Patrick Vassort
https://reporterre.net/Le-sport-permet-au-capital-de-s
Grâce à la « magie » du sport, les grandes entreprises peuvent réaliser de fructueuses opérations
On peut lire sur le site Internet du Comité international olympique : « Les Jeux Olympiques sont l’une des plateformes les plus efficaces de marketing international, atteignant des milliards de personnes dans plus de 200 pays. » Pourquoi les entreprises investissent-elles autant dans le sport et particulièrement dans les Jeux olympiques ?
L’institution sportive facilite l’appropriation des biens et des espaces par le capital. Ce qui semblait difficile à obtenir, car l’appropriation n’est pas toujours légitime, devient par le miracle du sport plus facile. Voici quelques exemples.
L’expropriation des populations pauvres de certaines zones géographiques se reproduit à chaque grand événement sportif. C’est vrai à Londres, mais aussi au Brésil lorsque, sur l’injonction de la Fédération Internationale de Football et du Comité international olympique, le gouvernement décide d’expulser 1,5 million de familles, soit 10 millions de personnes. Cela serait pour d’autres un crime, mais pas pour les organisations sportives. On éloigne ainsi des nouveaux quartiers sportifs les populations les plus démunies et on rend ces espaces exploitables pour le capital.
Le transfert de finances publiques vers des sociétés privées est exemplaire dans le cas des J.O. londoniens. Au départ, le gouvernement britannique avait prévu un budget de 2,8 milliards d’euros. Il sera sans doute au final de 28,6 milliards ! Ces sommes vont, entre autres, abreuver les entreprises du BTP qui restructurent des quartiers entiers et ses font des marges bénéficiaires extravagantes.
Lire la suite "Le sport permet au capital de s’approprier l’espace public" »
01 septembre 2018 à 15:59 dans A lire, Ici, national, L'info que vous n'avez pas , Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)
ttps://www.mediapart.fr/journal/france/130117/les-aventures-offshore-de-bernard-laporte-nouveau-patron-du-rugby-francais
- Mediapart.fr
Pendant des années, l’ancien secrétaire d’État et nouveau président de la fédération française de rugby a vendu des équipements confectionnés en Inde. Actionnaire de la société Be Rug Be, il s’est lié à un investisseur étranger mystérieux pour s’ouvrir à l’international par le biais d’une holding luxembourgeoise ayant des ramifications au Panama, aux îles Vierges britanniques ou encore à Belize. Que des paradis fiscaux…
Les montages offshore ne sont pas que l’apanage du monde du football. Avec un savoir-faire qui n’a rien à envier à celui des stars du ballon rond impliquées dans les Football Leaks, l’ancien secrétaire d’État de François Fillon et tout nouveau patron du rugby français, Bernard Laporte, a été au cœur de montages commerciaux sophistiqués passant par les plus grands paradis fiscaux de la planète, selon des documents et témoignages obtenus par Mediapart.
L’ancien sélectionneur de l’équipe de France – qui a été élu à la présidence de la fédération le 3 décembre dernier – a longtemps dirigé avec deux associés la société française Be Rug Be, spécialisée dans la vente de ballons et vêtements de sport. Or, quand cette entreprise a cherché à se développer en 2003, Bernard Laporte n’a rien trouvé de mieux que de s’associer au Luxembourg avec un mystérieux investisseur, dont il dit aujourd’hui ne connaître que le nom de l’avocat… Les fonds de ce Monsieur X provenaient, quant à eux, du Panama, des îles Vierges britanniques et du micro-État de Belize.
Lire la suite "Les aventures offshore de Bernard Laporte, nouveau patron du rugby français" »
01 septembre 2018 à 15:46 dans A lire, Ici, national, L'info que vous n'avez pas , Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)
- Mediapart.fr
La saturation de l’espace public par le spectacle sportif atteint aujourd’hui des proportions démesurées. Contenu idéologique dominant, souvent exclusif même, des grands médias, des commentaires politiques, des ragots journalistiques, des conversations quotidiennes (y compris chez les intellectuels dits de gauche), le spectacle sportif apparaît comme une propagande ininterrompue pour la brutalité, l’abrutissement, la vulgarité, la régression intellectuelle et pour finir l’infantilisation des « foules solitaires » pour paraphraser l’ouvrage classique de David Riesman [1].
Que l’équipe de France de rugby soit reléguée à une piteuse dernière place dans le Tournoi des six nations 2013 ou que l’équipe de France de football soit battue par l’Allemagne en « match amical », en présence d’Angela Merkel et de François Hollande, à chaque fois se déchaîne la machine à décerveler les consciences. Qu’en retour l’équipe d’Espagne s’impose face à la France et ce sont les multimillionnaires madrilènes et barcelonais du crampon qui sont félicités pour leur contribution au renforcement du « moral de la nation » par les dirigeants espagnols, ceux-là même qui ont amené leur pays au bord de la banqueroute ! On pourrait multiplier à l’envi les exemples du rôle que jouent les grandes compétitions sportives dans la manipulation des esprits, et ceci dans tous les pays du monde où elles ont colonisé la vie publique et privée des individus intoxiqués par l’opium sportif [2]. Selon les résultats d’un match de foot ou d’une compétition (le Vendée globe, Roland Garros, les Jeux olympiques), on assiste soit à une exaltation mégalomaniaque en cas de victoire, surtout si elle est « historique » ou « inespérée », soit à une dépression mélancolique en cas de défaite, en particulier quand il s’agit d’une « raclée humiliante » ou d’une « déculottée ». Comme l’a souligné Umberto Eco, l’un des rares intellectuels à n’avoir pas succombé aux charmes vénéneux du bavardage sportif, ce cortège de commentaires sur les commentaires – qui mobilisent totalement les piliers de bars sportifs, les rédactions des médias et in fine tous les zélateurs de la « culture sportive » – « devient l’ersatz du discours politique et à tel point qu’il devient lui-même le discours politique », un discours « qui se présente sous les fausses apparences du discours sur la cité et sur ses finalités », un discours en somme de diversion et de mystification. Il n’est dès lors pas étonnant que le sport devienne « instrumentum regni, ce que d’ailleurs il n’a pas cessé d’être au cours des siècles. C’est évident : les circenses canalisent les énergies incontrôlables de la foule » [3].
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01 septembre 2018 à 15:41 dans A lire, Ici, national, L'info que vous n'avez pas , Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)
02 octobre 2017 à 08:41 dans Actualité, L'info que vous n'avez pas , Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)
Depuis 2003, nous rendons compte des résultats des enquêtes réalisées dans le cadre du programme interdisciplinaire Facultad Abierta de l’université de Buenos Aires[i]. Celui-ci se destine à l’étude des expériences des entreprises récupérées par les travailleur-e-s (ERT) en Argentine[ii]. Publiée en mai 2016[iii], la 5e enquête dresse un état de la situation, pointe les évolutions entre décembre 2013 et mars 2016 et s’attache plus particulièrement à analyser les premières conséquences des politiques mises en œuvre par le gouvernement de Mauricio Macri[iv]. En juillet 2016, nous rendîmes compte des difficultés auxquelles les ERT sont confrontées avec les hausses des prix de l’énergie décrétées par le nouveau pouvoir d’orientation ultralibérale[v]. Dans cet article, nous présentons l’actualisation des données et des caractéristiques générales du processus et nous concluons par les défis que les ERT vont devoir relever dans le nouveau contexte politique.
Poursuite du processus
En mars 2016, il existait 367 ERT actives en Argentine qui occupaient 15 948 travailleur-se-s. Depuis la clôture de l’enquête précédente en décembre 2013, 43 entreprises ont été récupérées et 6 ne sont pas parvenues à consolider le processus. Ce premier indicateur démontre que la récupération et la consolidation d’entreprises autogérées se poursuivent à un rythme soutenu depuis la crise de 2008. Parmi les ERT en activité, le total de récupérations postérieures à 2009 est désormais plus important que celui de celles issues de la crise de 2001, période communément identifiée au mouvement des ERT en Argentine. De même, le taux d’ERT n’ayant pas pu se consolider est bien moindre que celui observé pour les entreprises classiques, y compris les PME, puisqu’il est de 10% contre plus de 50% pour les entreprises classiques après 4 années d’activité, selon des sources du ministère du travail[vi].
Les récupérations d’entreprises n’auront donc pas été un processus éphémère puisqu’il se maintient dans la durée (15 années si on n’excepte les quelques récupérations réalisées au cours des années 90). La récupération en autogestion des entreprises, que les patrons ferment ou abandonnent, est clairement perçue comme une alternative viable par les travailleur-se-s argentin-e-s pour préserver la source de travail. Cette réalité corrobore les déclarations de José Abelli en 2009 : « Aujourd’hui, quel que soit l’endroit dans le pays, lorsqu’une entreprise ferme, les travailleurs brandissent le drapeau de l’autogestion. C’est le grand acquis de la lutte de la classe ouvrière argentine »[vii] ou d’Andrés Ruggeri en 2014 lors de la rencontre européenne de l’Économie des travailleur-se-s : « l’aspiration à la démocratisation de la production et à la redistribution des richesses est inscrit dans l’ADN des travailleurs »[viii].
Des répartitions territoriale et sectorielle relativement constantes
En termes d’implantation géographique, il existe peu de différences avec les périodes précédentes, hormis un nouvel accroissement du nombre d’entreprises dans la ville de Buenos Aires. Un peu plus de la moitié des ERT se situe dans l’aire métropolitaine de Buenos Aires (189), zone qui occupe la moitié des travailleur-e-s concerné-e-s (7 781). Un peu plus de 80% des ERT se trouvent dans la région de la Pampa (299)[ix]. Pour autant, comme nous l’écrivions précédemment, le processus couvre l’ensemble du pays : Nord-Est (28), Patagonie avec les grandes entreprises de céramique (23), Cuyo Centre-ouest (15) mais seulement deux dans le Nord-Ouest.
Lire la suite "Un processus continu de récupération d’entreprises en Argentine" »
05 janvier 2017 à 13:49 dans Ailleurs, Amérique Latine, Economie: sur la crise... et la dette, Expériences pour l'avenir, L'info que vous n'avez pas | Lien permanent | Commentaires (0)
Vous invite
Mercredi 7 décembre , 19h 30
salles du Pavillon
(salle 3)
5 rue de l'Héritan
71000 Mâcon
Rencontre - débat
avec
Georges Gumpel
membre de l'Union Française Juive pour la Paix
la campagne internationale
Boycott-Désinvestissement-Sanctions
28 novembre 2016 à 17:21 dans Actualité, Ailleurs, Proche Orient, L'info que vous n'avez pas , Mobilisations/ débats | Lien permanent | Commentaires (0)